De toutes les Paroisses, page 228
Par Gilles Jobin, vendredi 19 avril 2013 :: Barratineries :: #1966 :: rss
Comme nous sentons bien que nous ne sommes pas nés pour le plaisir ! il nous laisse altérés.
Quand la moisson orageuse est passée, certaines femmes deviennent d'une pruderie qui leur sert d'enseigne.
Un homme qui pleure impressionne comme un plafond qui craque.
Dans le malheur on ne voit pas que ce qui est ; ce serait pourtant bien assez.
Il est des esprits faits de manoeuvres et de duplicité : ceux qui parlent toujours de franchise et de sincérité.
Tous ces vieux pommadés à outrance, qu'espèrent-ils donc encore du hasard?
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Quand la moisson orageuse est passée, certaines femmes deviennent d'une pruderie qui leur sert d'enseigne.
Un homme qui pleure impressionne comme un plafond qui craque.
Dans le malheur on ne voit pas que ce qui est ; ce serait pourtant bien assez.
Il est des esprits faits de manoeuvres et de duplicité : ceux qui parlent toujours de franchise et de sincérité.
Tous ces vieux pommadés à outrance, qu'espèrent-ils donc encore du hasard?
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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Gilles Jobin
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