De toutes les Paroisses, page 138
Par Gilles Jobin, samedi 19 janvier 2013 :: Barratineries :: #1833 :: rss
Le malheur répété nous rend comme timides et nous donnerait presque l'air de l'avoir mérité.
Comme elle nous préoccupe peu, notre grande dette, la mort!
Toutes les ardeurs s'éteignent, toutes les larmes ne sèchent pas.
Il faut laisser à la pensée son heure, tout en la favorisant.
Deux bonheurs qu'on oublie trop : être le père de ses enfants, et avoir eu une mère respectable.
L'argent nous aide en bien ou en mal à être ce que nous sommes.
L'heure de la réflexion en fait la richesse.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Comme elle nous préoccupe peu, notre grande dette, la mort!
Toutes les ardeurs s'éteignent, toutes les larmes ne sèchent pas.
Il faut laisser à la pensée son heure, tout en la favorisant.
Deux bonheurs qu'on oublie trop : être le père de ses enfants, et avoir eu une mère respectable.
L'argent nous aide en bien ou en mal à être ce que nous sommes.
L'heure de la réflexion en fait la richesse.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment.
Ajouter un commentaire
Gilles Jobin
Les commentaires pour ce billet sont fermés.