De toutes les Paroisses, page 101
Par Gilles Jobin, jeudi 13 décembre 2012 :: Barratineries :: #1788 :: rss
Quelle paix il y a à laisser dire, une paix pleine de fierté douce !
Si tu le veux, prends la rose pour amie; pour femme, cueille la pâquerette.
Laisse à la jeunesse ses joies, ses ivresses, ses amours : elle seule sait s'en servir.
On tombe de sa hauteur.
La reconnaissance a emprunté à l'amour quelques-unes de ses grandes émotions et de ses beaux moments.
N'appréhende pas tant les peines, elles ont leurs forces, mais plutôt les joies, elles ont leur vertige.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Si tu le veux, prends la rose pour amie; pour femme, cueille la pâquerette.
Laisse à la jeunesse ses joies, ses ivresses, ses amours : elle seule sait s'en servir.
On tombe de sa hauteur.
La reconnaissance a emprunté à l'amour quelques-unes de ses grandes émotions et de ses beaux moments.
N'appréhende pas tant les peines, elles ont leurs forces, mais plutôt les joies, elles ont leur vertige.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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