De toutes les Paroisses, page 40
Par Gilles Jobin, samedi 13 octobre 2012 :: Barratineries :: #1711 :: rss
Une femme languissante plaît, on lui trouve une poésie secrète... qui ne demande que des réalités.
On met sa vanité jusque dans sa maîtresse : on en a tant à placer !
J'ai connu un mari si sûr de sa femme qu'il l'encourageait à la politesse envers un homme qu'elle adorait.
Une tristesse non définie, c'est souvent de l'amour qui cherche.
Les événements sont des étapes qui nous obligent à réfléchir.
Que de fois un petit rayon de soleil nous eût sauvés de notre vilaine humeur! Pauvre humanité !
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
On met sa vanité jusque dans sa maîtresse : on en a tant à placer !
J'ai connu un mari si sûr de sa femme qu'il l'encourageait à la politesse envers un homme qu'elle adorait.
Une tristesse non définie, c'est souvent de l'amour qui cherche.
Les événements sont des étapes qui nous obligent à réfléchir.
Que de fois un petit rayon de soleil nous eût sauvés de notre vilaine humeur! Pauvre humanité !
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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