De toutes les Paroisses, page 21
Par Gilles Jobin, lundi 24 septembre 2012 :: Barratineries :: #1685 :: rss
Régale quelquefois ton coeur: ne compte qu'après avoir donné.
Je plains la faiblesse comme je plains un orphelin.
La folie a quelquefois le coeur tendre, en nous délivrant de nous-mêmes.
Les jeunes filles riches ont perdu la modestie de leur argent. À qui la faute ?
On est fait les uns pour les autres, mais qu'il est quelquefois difficile de s'ajuster à certains types !
À grands pas vont les fous, à petits pas vont les sages.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
Je plains la faiblesse comme je plains un orphelin.
La folie a quelquefois le coeur tendre, en nous délivrant de nous-mêmes.
Les jeunes filles riches ont perdu la modestie de leur argent. À qui la faute ?
On est fait les uns pour les autres, mais qu'il est quelquefois difficile de s'ajuster à certains types !
À grands pas vont les fous, à petits pas vont les sages.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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