De toutes les Paroisses, page 8
Par Gilles Jobin, mardi 11 septembre 2012 :: Barratineries :: #1666 :: rss
On interroge les beaux yeux cernés.
N'éveille pas la tentation, elle a l'oreille fine.
Le coeur vit sur des réalités ; l'esprit s'en courbature.
Salue ce qui t'a réjoui, tu lui dois toujours.
On est bien pauvre quand on n'a plus besoin de personne que de tout le monde.
L'impertinence est une porte de sortie que prennent facilement les gens qui ont tort.
La mémoire chez autrui fait croire à beaucoup plus qu'il n'y a.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
N'éveille pas la tentation, elle a l'oreille fine.
Le coeur vit sur des réalités ; l'esprit s'en courbature.
Salue ce qui t'a réjoui, tu lui dois toujours.
On est bien pauvre quand on n'a plus besoin de personne que de tout le monde.
L'impertinence est une porte de sortie que prennent facilement les gens qui ont tort.
La mémoire chez autrui fait croire à beaucoup plus qu'il n'y a.
Anne Barratin, De toutes les Paroisses, Ed. Lemerre, Paris, 1913
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