Chemin faisant, page 227
Par Gilles Jobin, samedi 4 août 2012 :: Barratineries :: #1614 :: rss
Le courage est comme l'enfant, il croit tout possible.
Il ne faut pas aller plus profond que la profondeur pour rester dans la lumière, ni plus bas que le puits pour trouver l'eau.
Le regret est un vivant qui se pleure sur un mort.
Je crois, donc j'accepte.
Une habitude est comme l'angora de la maison; elle grimpe sur notre dos sans que nous la sentions.
Quelque timide qu'on soit devant son public, on ne peut cependant pas, quand on n'en vit pas, éprouver les émotions de la mariée devant l'autel.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Il ne faut pas aller plus profond que la profondeur pour rester dans la lumière, ni plus bas que le puits pour trouver l'eau.
Le regret est un vivant qui se pleure sur un mort.
Je crois, donc j'accepte.
Une habitude est comme l'angora de la maison; elle grimpe sur notre dos sans que nous la sentions.
Quelque timide qu'on soit devant son public, on ne peut cependant pas, quand on n'en vit pas, éprouver les émotions de la mariée devant l'autel.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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