Chemin faisant, page 150
Par Gilles Jobin, mercredi 23 mai 2012 :: Barratineries :: #1484 :: rss
Quand on veut reconquérir une ville, on est aimable envers les faubourgs.
On peut, heureusement, être bon patriote sans avoir les vices de son pays, et bon fils sans avoir les défauts de sa mère.
Notre vie est d'avance tracée, nous en brodons simplement le canevas.
Ne se faire craindre que par sa justice.
Ceux qui se louent sont très agréables à côté de ceux qui se plaignent.
Le sourire n'est ni une approbation ni un blâme ; il est du genre neutre.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
On peut, heureusement, être bon patriote sans avoir les vices de son pays, et bon fils sans avoir les défauts de sa mère.
Notre vie est d'avance tracée, nous en brodons simplement le canevas.
Ne se faire craindre que par sa justice.
Ceux qui se louent sont très agréables à côté de ceux qui se plaignent.
Le sourire n'est ni une approbation ni un blâme ; il est du genre neutre.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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