Chemin faisant, page 145
Par Gilles Jobin, vendredi 18 mai 2012 :: Barratineries :: #1469 :: rss
La grâce meurt avec toutes les perles de son collier.
Les fautes d'autrui sont des oreillers pour les nôtres.
C'est quand le métier disparaît que l'art se révèle.
Le vrai n'a qu'une couleur, celle du vrai.
La gaieté vient de l'humeur, la joie vient du coeur.
Faire passer son bienfait par dée mains qui ne peuvent pas donner, c'est donner deux fois.
Je crois au sang dans les veines plus que je ne crois aux privilèges du sang.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Les fautes d'autrui sont des oreillers pour les nôtres.
C'est quand le métier disparaît que l'art se révèle.
Le vrai n'a qu'une couleur, celle du vrai.
La gaieté vient de l'humeur, la joie vient du coeur.
Faire passer son bienfait par dée mains qui ne peuvent pas donner, c'est donner deux fois.
Je crois au sang dans les veines plus que je ne crois aux privilèges du sang.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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