Chemin faisant, page 133
Par Gilles Jobin, dimanche 6 mai 2012 :: Barratineries :: #1455 :: rss
Il y a des moments où toute une révolution d'idées se lève en nous et, comme un essaim de guêpes, part dans toutes les directions.
Les gens sans générosité sont, comme les gens sans vaccin, à la merci du premier cancan.
On porte la vieillesse suivant son caractère, cette seconde peau de l'être humain.
L'ami auquel on ose faire certaine question sur son ami a l'amitié peu virile.
Ceux qui sont plaints sont souvent moins à plaindre que ceux qui les plaignent.
L'inspiration se lève à ses heures comme l'enfant gâté.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Les gens sans générosité sont, comme les gens sans vaccin, à la merci du premier cancan.
On porte la vieillesse suivant son caractère, cette seconde peau de l'être humain.
L'ami auquel on ose faire certaine question sur son ami a l'amitié peu virile.
Ceux qui sont plaints sont souvent moins à plaindre que ceux qui les plaignent.
L'inspiration se lève à ses heures comme l'enfant gâté.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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