Chemin faisant, page 108
Par Gilles Jobin, vendredi 13 avril 2012 :: Barratineries :: #1420 :: rss
Il est beau de sauver une vie physique et une vie morale en gardant un secret que seul nous connaissons : tenir un honneur vivant entre ses mains !
Il est des êtres qui me feraient détester le devoir, à la manière dont ils s'en acquittent.
Ah! qu'il est las, celui qui ne s'aperçoit plus du passage du printemps à l'été, ni de l'automne à l'hiver ! Pitié, mon Dieu, pour les pauvres courbaturés !
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Il est des êtres qui me feraient détester le devoir, à la manière dont ils s'en acquittent.
Ah! qu'il est las, celui qui ne s'aperçoit plus du passage du printemps à l'été, ni de l'automne à l'hiver ! Pitié, mon Dieu, pour les pauvres courbaturés !
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment.
Ajouter un commentaire
Gilles Jobin
Les commentaires pour ce billet sont fermés.