Chemin faisant, page 66
Par Gilles Jobin, dimanche 4 mars 2012 :: Barratineries :: #1342 :: rss
Se plaindre et gémir, deux éternelles faiblesses, deux éternelles pauvretés !
Avec un peu d'effort, on peut laisser parler le bavard comme on laisse coasser la grenouille, miauler le chat et aboyer le chien.
Personne comme nos folies pour se faire payer capital et intérêts.
L'obstacle est la borne où l'homme constate son humanité.
On admet une chose, et l'on s'en étonne cependant.
La sagesse ne connaît pas le bonheur d'un bon acte de contrition.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Avec un peu d'effort, on peut laisser parler le bavard comme on laisse coasser la grenouille, miauler le chat et aboyer le chien.
Personne comme nos folies pour se faire payer capital et intérêts.
L'obstacle est la borne où l'homme constate son humanité.
On admet une chose, et l'on s'en étonne cependant.
La sagesse ne connaît pas le bonheur d'un bon acte de contrition.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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