Chemin faisant, page 49
Par Gilles Jobin, jeudi 16 février 2012 :: Barratineries :: #1304 :: rss
L'hypothèque de la mort : la maladie.
Nos actions sont des pensées que nous mettons sur des jambes.
Les larmes dépouillent à la frontière terrestre toute leur humilité et arrivent à Dieu en vainqueurs.
Si le riche a le monde à ses pieds, il a la trahison au-dessus de sa tête.
Croire trop peu, c'est douloureux; croire trop, c'est dangereux.
Un homme riche ne doit jamais se demander pourquoi on l'aime.
Le pardon qu'on demande n'est généralement pas plus sincère que celui qu'on accorde.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Nos actions sont des pensées que nous mettons sur des jambes.
Les larmes dépouillent à la frontière terrestre toute leur humilité et arrivent à Dieu en vainqueurs.
Si le riche a le monde à ses pieds, il a la trahison au-dessus de sa tête.
Croire trop peu, c'est douloureux; croire trop, c'est dangereux.
Un homme riche ne doit jamais se demander pourquoi on l'aime.
Le pardon qu'on demande n'est généralement pas plus sincère que celui qu'on accorde.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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