Chemin faisant, page 24
Par Gilles Jobin, lundi 23 janvier 2012 :: Barratineries :: #1210 :: rss
Quand une femme a permis la seconde liberté, elle a autorisé la dernière.
Est-ce par oubli que la plupart des veuves se remarient, ou par souvenir?
Les hommes sont comme les enfants ; ils sentent quelquefois le besoin d'aller dîner à la cuisine.
Certains hommages donnent la sensation d'un gigot après dîner.
Une femme qui n'a peur de rien, est aussi antipathique qu'un homme qui a peur de tout.
Simplement jeune, franchement vieille, doucement belle, discrètement riche.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
Lire le premier billet consacré à cette série.
Est-ce par oubli que la plupart des veuves se remarient, ou par souvenir?
Les hommes sont comme les enfants ; ils sentent quelquefois le besoin d'aller dîner à la cuisine.
Certains hommages donnent la sensation d'un gigot après dîner.
Une femme qui n'a peur de rien, est aussi antipathique qu'un homme qui a peur de tout.
Simplement jeune, franchement vieille, doucement belle, discrètement riche.
Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894
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