Citations quotidiennes 18.01.12
Par Gilles Jobin, mercredi 18 janvier 2012 :: Briberies :: #1251 :: rss
Les sorciers
lorsqu'ils font de terrifiantes conneries
on accuse toujours l'apprenti.
Jacques Prévert (Fatras, Livre de Poche n° 3253, p.158)
Il faut que vienne le temps de l'évidence. Dieu doit nous être montré comme deux et deux font quatre.
René Barjavel (La faim du tigre, Folio n° 847)
Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites.
Carlos Ruiz Zafón (L'ombre du vent, trad. François Maspero , p.250, Grasset, 2004)
[...] la vie d'un livre est aussi accidentée que celle d'une jolie femme.
Jules Richard (L'art de former une bibliothèque, p.126, Éd. Rouveyre & G. Blond, 1883)
[...] le kilt, pour n'importe quel homme, est un vêtement plein de surprises...
Sean O'Casey (Il est temps de partir, in Théâtre V, p.186, L'Arche, 1963)
Voir Au fil de mes lectures.
lorsqu'ils font de terrifiantes conneries
on accuse toujours l'apprenti.
Jacques Prévert (Fatras, Livre de Poche n° 3253, p.158)
Il faut que vienne le temps de l'évidence. Dieu doit nous être montré comme deux et deux font quatre.
René Barjavel (La faim du tigre, Folio n° 847)
Le destin attend toujours au coin de la rue. Comme un voyou, une pute ou un vendeur de loterie : ses trois incarnations favorites.
Carlos Ruiz Zafón (L'ombre du vent, trad. François Maspero , p.250, Grasset, 2004)
[...] la vie d'un livre est aussi accidentée que celle d'une jolie femme.
Jules Richard (L'art de former une bibliothèque, p.126, Éd. Rouveyre & G. Blond, 1883)
[...] le kilt, pour n'importe quel homme, est un vêtement plein de surprises...
Sean O'Casey (Il est temps de partir, in Théâtre V, p.186, L'Arche, 1963)
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Gilles Jobin
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