Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

jeudi 12 janvier 2012

La multiplication chez les entiers

Si vous avez toujours voulu comprendre pourquoi le produit de deux nombres négatifs donne un nombre positif, cette vidéo de moins de 6 minutes est pour vous. Je vous conseille cependant de jeter préalablement un oeil sur les deux précédentes : celle consacrée à l'addition et l'autre à la soustraction.

Le but de ma démarche est de démontrer la cohérence derrière le concept des entiers en partant de la définition même de ces nombres. Aucun truc, aucune magie et aucune loi ésotérique ne sont nécessaires pour s'approprier logiquement les processus reliés aux opérations sur les entiers.

Chemin faisant, page 13

Il faut avoir l'air de ne savoir que ce qu'on nous dit.

Plaire n'est jamais si doux que déplaire à certaines gens.

Il est de ces bonheurs qui défient le rêve.

On vendait un jour de l'esprit sur le marché d'Athènes, mais tous s'en trouvant, personne ne se présenta pour en acheter.

Le goût est à l'art ce que le jugement est à l'esprit.

La seule phrase que le bavard ne puisse dire : Je ne sais pas.

Un homme sans opinion : un logement toujours prêt aux mauvais locataires.

Anne Barratin, Chemin faisant, Ed. Lemerre, Paris, 1894

Lire le premier billet consacré à cette série.

Citations quotidiennes 12.01.12

Les jeunes gens ont tout naturellement leur idéal particulier et c'est toujours le même.
H.G. Wells (Le choix d'une épouse, trad. Henri-D. Davray et B. Kozakiewicz, p.138, in Effrois et fantasmagories, Éd. Gallimad coll. L'imaginaire)

Mathematical objects are just concepts; they are the mental idealizations that mathematicians make, often stimulated by the appearance and seeming order of aspects of the world about us, but mental idealizations neverthless.
Roger Penrose (The emperor's new mind, Oxford University Press, p.94)

On demanda à Vatanen s'il avait l'intention de tuer et de manger le lièvre quand il aurait grandi. Vatanen déclara qu'il n'y songeait pas. On en conclut que personne bien sûr ne tuerait son propre chien, et qu'il est parfois plus facile de s'attacher à un animal qu'à un être humain.
Arto Paasilinna (Le lièvre de Vatanen, trad. Anne Colin du Terrail, p.23, Éd. Folio - hors commerce)

[En parlant d'une autopsie : ]
[Un] viol calculé.
Donna Leon (Mort à La Fenice, trad. William Olivier Desmond, p.71, Quebecor, 1997)

[...] les faiblesses des méchants [...] sont les mêmes que celles des saints.
Umberto Eco (Le nom de la Rose, trad. Jean-Noël Schifano, p.67 Éd. France Loisirs)

Voir Au fil de mes lectures.