Citations quotidiennes 8.12.11
Par Gilles Jobin, jeudi 8 décembre 2011 :: Briberies :: #1127 :: rss
[...] Il est peu de profit à trahir son devoir.
Alexandre-Jean-Joseph De La Ville de Mirmont (Charles VI, acte 2, sc. 3 (Henri), 1821)
Dans la pensée d'un mathématicien, le plus précieux est ce moment solitaire de la première intuition.
Guillermo Martinez (Mathématique du crime, trad. Eduardo Jiménez , p.144, Nil éditions, 2004)
[L'honneur] est la dernière richesse du pauvre.
Albert Camus (Les justes, p.66, Folio n°477)
On n'est jamais timide que dans la mesure où on est vu, mais on est toujours vu que dans la mesure où on voit.
Sören Kierkegaard (Le Journal du séducteur, trad. F. et O. Prior et M. H. Guignot, p.28, Folio essais 124)
Quel est l'objet de l'art ? Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication immédiate avec les choses et avec nous-mêmes, je crois bien que l'art serait inutile, ou plutôt que nous serions tous artistes, car notre âme vibrerait alors continuellement à l'unisson de la nature.
Henri Bergson (Le rire, p.115, Éd. P.U.F)
Source : Au fil de mes lectures.
Alexandre-Jean-Joseph De La Ville de Mirmont (Charles VI, acte 2, sc. 3 (Henri), 1821)
Dans la pensée d'un mathématicien, le plus précieux est ce moment solitaire de la première intuition.
Guillermo Martinez (Mathématique du crime, trad. Eduardo Jiménez , p.144, Nil éditions, 2004)
[L'honneur] est la dernière richesse du pauvre.
Albert Camus (Les justes, p.66, Folio n°477)
On n'est jamais timide que dans la mesure où on est vu, mais on est toujours vu que dans la mesure où on voit.
Sören Kierkegaard (Le Journal du séducteur, trad. F. et O. Prior et M. H. Guignot, p.28, Folio essais 124)
Quel est l'objet de l'art ? Si la réalité venait frapper directement nos sens et notre conscience, si nous pouvions entrer en communication immédiate avec les choses et avec nous-mêmes, je crois bien que l'art serait inutile, ou plutôt que nous serions tous artistes, car notre âme vibrerait alors continuellement à l'unisson de la nature.
Henri Bergson (Le rire, p.115, Éd. P.U.F)
Source : Au fil de mes lectures.
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Gilles Jobin
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