Jobineries

Blogue de Gilles G. Jobin, Gatineau, Québec.

dimanche 1 juillet 2007

La fin de l'alphabet

La fin de l'alphabet de C. S. Richardson est un bijou. Je suis tombé dessus au hasard de ma dernière visite chez le libraire, alors que je ne désirais, finalement, que flâner parmi les livres.

L'auteur est directeur du département graphique de la maison d'édition Random House à Toronto et ce petit livre de 150 pages est son premier roman.

Et quel roman ! À classer tout près de La petite fille de M. Linh (P. Claudel) ou Isabelle Bruges (Bobin) ou Ensemble c'est tout (Gavalda) ou encore Effroyables jardins (Quint).

Pour vous donner un peu le goût, la quatrième de couverture est ici. Je n'en dis pas plus car je parle très mal des livres, mais courez vite l'acheter à la librairie du coin.

Mat en ?

Dans un problème d'échecs, il faut toujours imaginer Dieu affrontant Dieu. Autrement dit, on assume que les joueurs jouent parfaitement bien.

Cela posé, voyez la position ci-contre.

Les Blancs sont au trait. Il ne fait pas de doute qu'ils gagneront facilement la partie. La question est cependant de savoir le nombre minimum de coups nécessaires pour mater l'adversaire. Évidemment, je m'attends aussi à ce que vous me donniez la séquence de jeu.

Ça, c'est le premier problème.

Le second est pour vous exercer à chercher sur le web. Qui a inventé ce problème ?