J'ai lu ce polar de Jean-Christophe Grangé suite à un commentaire enthousiaste de ma nièce Sabine. C'est écrit sous forme de best-sellers c'est-à-dire qu'à la fin de chaque chapitre, on n'a quasi pas le choix de poursuivre sa lecture. Ce qui me dérange le plus dans ce livre, c'est peut-être le peu de vraisemblance. Deux exemples : Louis, le héros du livre, à son premier assassinat, ne réagit presque pas. Or, c'est un type très rangé qui a passé sa vie à l'école  : il en sort tout juste, à 32 ans, avec un doctorat en histoire... Ailleurs, Interpol lui permet de rencontrer Sarah en prison alors que l'organisme n'a absolument aucune raison logique de donner cette permission. Comme si un petit ornithologue amateur pouvait dicter ses exigences à Interpol ! L'histoire est certainement bien racontée quoiqu'assez prévisible. Lirais-je un second livre de cet auteur - j'ai en réserve Les rivières pourpres ? Certainement ! Le vol des cigognes est le premier livre de Grangé, et j'ai bien l'impression que l'auteur ne peut que s'améliorer. Ce fut une belle lecture d'été.